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THÉÂTRE, SCÈNES

THÉÂTRE
COMÉDIES MUSICALES
THÉÂTRE MUSICAL

Dès son adolescence, Bernard Novet joue au théâtre dans une troupe de sa région.

Après sa formation de cinéaste aux Etats-Unis puis à Londres, il prend la direction de la Compagnie Des Deux Masques, à Cheseaux-sur-Lausanne. Avec elle, il monte sur plus de 20 ans des spectacles de tous genres et de toutes dimensions.

DÉROULEZ la page pour parcourir les spectacles...

En 2008, il adapte et met en scène "Le Portrait de Dorian Gray" d'après Oscar Wilde, sur la grande scène du Théâtre Barnabé à Servion. Une production originale et ambitieuse alliant amateurs et professionnels pour un spectacle de théâtre musical (Musique Jean-Claude Bossel).

 

En 2016, Bernard Novet écrit, met en scène et conçoit le livret de la comédie musicale "Mary Shelley's Frankenstein". Musique originale de Stanislas Romanowski. Ce spectacle est monté pour les 200 ans de la création, en Suisse, du chef d'œuvre de Mary Shelley.

D'autres projets de spectacle sont en cours de conception.

Il était une gare

De Jacques Deval (2012)

Une comédie douce-amère mise en scène par Bernard Novet.

Dans une petite ville de province, la poésie, le drame, les illusions et désillusions des passagers de deux trains bloqués en gare.

Avec, au milieu de tous, la tenancière du café qui attend le retour, peut-être, d'un ancien amour disparu...

(Décor de Bernard Novet, avec Pierre-André Nicole)

Le Cauchemar d'Arthur Flock

Une comédie grinçante écrite et mise en scène par Bernard Novet (2011)

Au départ, il y a toujours une raison.

Parfois plusieurs…

 

“Le Cauchemar d’Arthur Flock” est le fruit d’une envie de longue date. Envie de comédie - de comédie populaire - et nécessité de grande distribution se sont donc mêlées aux fantasmagories du moment, à l’air du temps et aux dérapages d’une plume iconoclaste…

Le grand déballage des cauchemars, rêves et fantasmes.

Suivant le parcours tragi-comique d’un petit employé retournant au théâtre pour la première fois depuis des années, la trame du “Cauchemar” se perd bientôt dans les méandres d’un onirisme de pacotille. Des figures de l’imaginaire de Flock y croisent gaillardement celles de ses fantasmes et de son passé d’enfant rêveur. Mais la réalité le rattrape. Les épopées de l’enfance et les aventures de l’adolescence ont été balayées depuis longtemps par l’âge de raison et son “univers impitoyable”.

N’est-ce pas cet oubli, ou plutôt, cette trahison majeure, qui fait de nous des naufragés ?

 

Combien de rêves abandonnés, de justifications piteuses données à des échecs que l’on nomme “expériences” ?

 

Le monde permet-il encore de vivre la brûlante réalité de ses rêves ?

Le Procès de Mary Dugan

De Bayard Veiller (2009)

Mise en scène de Bernard Novet.

Résonnant curieusement avec les tribulations judiciaires, et très genevoises, de l’assassin (dit-on jamais “assassine” ?) d’un célèbre banquier français, le drame de Mary Dugan a pourtant l’avantage de n’être que pure fiction…

 

Enfin, presque !

 

Car s’il est absolument vrai que tout est absolument… faux dans la terrible affaire Mary Dugan, reste cette réalité immuable qui fait que sexe et argent, origine et rang social se mêlent et s’entremêlent jusqu’au coeur de la justice.

 

Selon que vous soyez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir…, disait La Fontaine en son temps. Quelle fable ! Au pays de la démocratie ? Rien de tel, sans doute…

Comme à chaque fois, la mise en scène du grand théâtre de la justice devient sa mise en… abîme ! L’incarnation même de ce qui rend possible la coexistence entre les hommes se retrouve au banc des accusés.

 

Justice de classe, à la solde du plus riche, dans une société façonnée par et pour la bonne fortune et la puissance des possédants ?

Probablement pas, vous exagérez…

 

Cela ne serait guère raisonnable et compatible avec l’idéal humaniste et républicain. Ou alors, juste un peu, entre les lignes…

Parole de “danseuse” contre parole de banquier ! Rien ne va plus… 1929, c’est la grande crise… Déjà… Encore…

L'Éventail de Lady de Winter

D'après Oscar Wilde (2006)

Mise en scène de Bernard Novet

Roses rouges, roses blanches…

 

« Nous ne devons plus jamais être séparés… Oh Arthur, allons à Selby ! Dans le jardin des roses, à Selby, les roses sont blanches et rouges ! » - Margaret de Winter

 

Sur le point de fêter son anniversaire dans le bonheur le plus parfait, la toute jeune maman Margaret de Winter apprend que son mari, Arthur de Winter, brillant homme d’affaires, entretient une liaison très coûteuse avec une femme dont toute la société semble connaître les turpitudes et la petite vertu.

 

Sous le coup de l’émotion, elle prend la décision de quitter le foyer et d’aller se réfugier chez Darling, un ami de la famille qui ne cesse de la courtiser depuis des années. Ce faisant, elle prend sciemment le risque de ruiner son mariage, et d’abandonner son enfant …

 


A l’image de le la rose blanche, symbole de la pureté d’un coeur purifié, et de la rose rouge, vibrante du sang de la souffrance mais aussi de l’amour, c’est une Margaret de Winter transfigurée qui apparaît à la fin de la pièce, prête à cueillir son destin, enfin sauvée de l’enfer de ses bonnes intentions et du fardeau de la morale dont l’avait chargée son éducation d’orpheline…

 

Il lui aura fallu s’approcher dangereusement du gouffre qui l’attendait, et où d’autres avant elle étaient tombées, pour réaliser tout ce qui sépare, dans le jardin victorien de l’Angleterre d’alors, les fleurs des épines, l’apparence et la bonne morale, de la vérité et de l’amour.

 

« Et toujours, entendre le rire, l’horrible rire du monde… » - Madame Erlynne

 

* * *

Ecrite en 1893, « L’Eventail de Lady Windermere » est la première comédie d’Oscar Wilde à avoir été présentée au public. En effet, un premier texte dramatique (« Vera et les nihilistes »), présentant une tragédie politique, fut interdite de représentation en 1881.

 

La Compagnie Des Deux Masques a choisi de déplacer l’intrigue de la pièce de la fin des années 1800 aux années 1930, d’où la légère adaptation du titre.

 

Drôle, brillante, cruelle, « L’éventail » réunit une pléiade de personnages en un tourbillon qui, l’espace d’une nuit de bal, mènera la jeune et ingénue Lady Windermere au bord du gouffre…

La Souricière

D'après Agatha Christie (2001-2002)

Nouvelle traduction, adaptation et mise en scène de Bernard Novet.

 

Le spectacle débute en extérieur, se poursuit dans un train, avant de se terminer dans la salle de spectacle, autour d'un repas au théâtre.

Spectacle donné également à l'occasion du Nouvel-An.

La reine du crime nous invite dans l'une de ses pièces les plus fameuses, depuis plus de 60 ans en exclusivité à Londres.

La Belle Vie

De Jewan Anouilh (2000)

Mise en scène de Bernard Novet

Aux pays des guérilleros, des cigares et de la révoluçion, une satire féroce sur les rapports de pouvoir…

 

Une poignée d’aristocrates en pleine déliquescence, un régiment de révolutionnaires en voie de fonctionnarisation et quelques businessmen aussi véreux qu’opportunistes se disputent une place au soleil. Mais le destin que leur impose l’auteur ne leur permettra pas d’y stagner longtemps. La médiocrité et l’immobilisme risquent fort de sortir vainqueurs du combat.

« Dans l’œuvre de Jean Anouilh, personne ne semble échapper, dans sa quête de grandeur et de bonheur, à l’ultime bassesse du réel - à l’image du personnage d’Antigone, dont il fera l’héroïne tragique de l’un de ses plus fameux textes en 1942.

 

C’est sans doute dans cette amertume et cette révolte contre le destin qu’il puise une grande part de sa force dramatique, et aussi, pour notre plus grand plaisir, son goût appuyé pour la satire implacable. »
Un délice piquant et amer à déguster en musique, au musée du Peuple, avec citron et Tequila !

Le Vallon

D'après Agatha Christie (1999)

Adaptation et mise en scène de Bernard Novet

Toute la distribution de la Compagnie Des Deux Masques excelle dans cette extraordinaire comédie policière qui fleure bon l'Angleterre et les misères assassines de sa petite aristocratie.

Le Vallon

Long métrage vidéo.

Captation de la pièce en décors naturels.

Revoyez ici des extraits, prochainement...

Caviar ou lentilles

De Scarnicci et Tarabusi (1998)

Mise en scène de Bernard Novet

 

« Le rire nous introduit au cœur du sujet : la nécessité de croire en la dignité de tout homme… »

A. Alter

 

En ces temps moroses où chômage et espoirs de reprise se disputent la première place aux tables du Café du Commerce, la farce napolitaine de Scarnicci et Tarabusi vient à point nommé pour remettre l’homme au milieu du village.

 

Car entre éclats de rire et duperies, sous les lessives et le soleil - parfois bien caché - d’Italie, c’est bien la foi en l’homme que décline, à tous les temps de la comédie, « Caviar ou lentilles ».

Spectacles

Diverses participations (1985-2013)

Entre 1985 et 2013, Bernard Novet participe à d'autres spectacles en tant que technicien ou comédien, metteur en scène, concepteur, souvent en créant aussi les visuels de l'affiche, etc...

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